Under the hawthorn tree

Critique :

un petit bijou de sensibilité, de mise en lumière de l'amour pur, éternel

"C'est triste à mourir, mais que l'amour est beau…"

Certaines phrases captées à la sortie d'une séance peuvent parfois à merveille résumer une impression. Under the Hawthorne tree (littéralement "sous l'aubépine") est un petit bijou de sensibilité, de mise en lumière de l'amour pur, éternel. De ceux qui vous redonnent la foi en des sentiments vrais, devenus tellement rares en nos contrées cinématographiques ou plus largement, médiatiques. C’est un amour presque naïf que nous propose à voir Zhang Yimou, le célèbre réalisateur chinois ayant remporté de nombreux prix dans les festivals internationaux en début de carrière (notamment l’Ours d’or à Berlin pour Le Sorgho rouge en 1987) avant de surfer, toujours avec réussite, sur la vague lancée par Tigres et Dragons, notamment grâce aux spectaculaires Le Secret des Poignards volants ou encore La Cité Interdite.

par Le passeur critique