Bons baisers de la colonie

Critique :

Son histoire de mulâtresse, elle la raconte simplement, sans émotion ni apitoiement...

"...Son histoire de mulâtresse, elle la raconte simplement, sans émotion ni apitoiement, parfois juste une pointe de colère. "Mulâtre" vient du mot mulet, croisement entre un âne et une jument ! Dans la raideur de Suzanne on prend conscience de la forteresse qu'elle s'est construite pour survivre et on a mal pour elle. Grâce à sa petite-nièce par alliance, ou par hasard, elle livre enfin le poids de son indignation, même si c'est encore à demi-mots."

par Dimitra Bouras – Cinergie.be

la réalisatrice exhume avec pudeur une page douloureuse du passé colonial belge

Renouant le fil d'une histoire familiale brisée et placée sont le sceau du secret, la réalisatrice exhume avec pudeur une page douloureuse du passé colonial belge...

par Karin Tshidimba - La Libre Belgique

aborde avec brio la difficulté de naître sans racine

Ce documentaire pointe le racisme ambiant de l'époque coloniale et aborde avec brio la difficulté de naître sans racine...

par M.F. - Moustique

les thématiques abordées dans le film le sont de manière touchante, délicate, satinée

La recherche des racines, l'importance de la filiation, des origines : les thématiques abordées dans le film le sont de manière touchante, délicate, satinée. Et on s'attache à cette vieille dame endurcie par la vie...

par Guy Verstraeten - Le Vif